Samedi, Emmanuelle Bonnet Oulaldj, co-présidente de la Fédération sportive et gymnique du travail (FSGT) depuis 2017, a annoncé sa candidature à la présidence du Comité national olympique et sportif français (CNOSF).
Avec un projet axé autour de trois points principaux, « résilience, solidarité et exigence », Emmanuelle Bonnet-Oulaldj affirme d’ores et déjà son positionnement.
« Dans cette société de l’après-Covid qu’il nous appartient d’imaginer dès aujourd’hui, il est essentiel que le rôle des activités physiques et sportives, la vie associative et le bénévolat soient enfin reconnus comme indispensables. Face à une urgence sanitaire, sociale, économique et écologique, nous, mouvement sportif fédéré, devons nous rassembler et relever un immense défi pour garantir le droit au sport pour toutes et tous des générations futures, sur tous les territoires », a-t-elle présenté dans une lettre adressée aux présidences des différentes fédérations sportives.
(THREAD) J’ai annoncé ce matin ma candidature à la présidence du CNOSF @FranceOlympique dans un courrier aux fédérations sportives, autour de 3 axes pour faire de notre diversité une force dans un contexte de crise : #résilience, #solidarité et #exigence. #CNOSF2021 pic.twitter.com/wsKBj9Km77
— Emmanuelle Bonnet Oulaldj (@EOulaldj) January 23, 2021
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